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Avr
30

Cazino de Constanta

  • Posted By : vr19696-ovh/
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Plus importante ville portuaire de Roumanie, Constanta est située à la croisée entre l’orient et l’occident. Elle possède un héritage unique : son casino qui fut l’un des plus célèbres au monde au début du 19ème siècle. Telle une sentinelle trônant fièrement sur la mer noire, le casino de Constanta semble s’être figé dans le temps.  Aujourd’hui, seuls les lustres qui restent suspendus dans les anciennes salles de jeux sont là pour rappeler ce passé glorieux.

Commandité par le roi Carol 1er aux architectes Petre Antonescu et Daniel Renard, le casino de Constanta fut construit entre 1905 et 1910 dans le plus pur style « Art-nouveau ». La façade est ornée d’une large baie vitrée en forme de coquille Saint-Jacques qui devient l’emblème de la ville. Il est inauguré par le prince Ferdinand en présence de l’élite et de la noblesse de toute l’Europe. Tout le monde se précipite pour découvrir ce bijou architectural. Ils viennent jouer, danser, boire, s’amuser et se montrer dans le casino de Constanta. De nombreuses fresques, peintures baroques, stucages et vitraux sont encore là pour me montrer le luxe qu’il y avait autrefois. Sa réputation grandit et il devient l’équivalent  de la french riviera à l’est. Mais cette grandeur ne dura guère longtemps.

Les deux guerres mondiales plongèrent l’Europe dans des heures sombres et fit couler l’économie roumaine. Après avoir servi d’hôpital durant la première guerre mondiale, le casino fut occupé par l’armée allemande lors de la seconde et subit de lourds dégâts lors de bombardements. Sous l’occupation soviétique en 1947, le casino devient une maison de la culture vantant les bienfaits du communisme. Puis en 1956, le casino fut nationalisé et rendu au public. Après des travaux de rénovation le casino réouvre en tant que restaurant-salle de jeux mais l’élite ne remit jamais les pieds là-bas ; et au début des années 90, le gérant jette l’éponge. Les murs se dégradent rapidement et le lieu devient dangereux. Malgré son passé fastueux, tous les projets de rénovation tombent à l’eau. Jusqu’en 2020 où les travaux de rénovation commencent enfin et où des échafaudages sont posés à l’extérieur. J’espère que cette fois ses efforts aillent au bout et lui rendent son lustre d’antan !


Avr
29

Ask the dust

  • Posted By : vr19696-ovh/
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Si les morts ne parlent pas, il en va autrement des lieux qu’ils ont habités. Chacun possède ses souvenirs, ses fantômes et ses propres histoires à raconter. Mais avant d’aller se perdre à travers ces endroits abandonnés par l’homme, il est important de s’interroger : quelles questions devons-nous leur poser ? « Demande à la poussière » est une aventure captivante dans le passé qui nous emmène successivement à travers les châteaux poussiéreux de la haute bourgeoisie, dans d’immenses usines dévorées par la rouille ou bien encore à l’intérieur d’églises désertées par leurs fidèles ; en passant par l’incroyable village ensablé de Kolmanskop et la cité engloutie par les eaux d’Epecuén. Autant de vestiges où la nature reprend le dessus et qui attendent paisiblement qu’on leur rende une dernière visite. Explorateur urbain, aventurier, chasseur de lumière, Romain Veillon part à la découverte de ces endroits oubliés de tous et vous transporte avec lui dans ce voyage dans le temps grâce à ces incroyables images. Laissez-vous entraîner page après page dans ce songe où un souffle de vie vient réveiller ces ruines un court instant. Hypnotique et envoûtant tel un requiem inachevé, ces photographies nous offrent un moment de répit et de retour sur nous-mêmes dans une société qui laisse peu de place à la réflexion et à la rêverie. Alors, à la fin, que devons-nous demander à la poussière? Laissez ces images vous aider à décider !

 

Retrouvez «Ask the dust» en vente en librairie, sur internet sur amazon et ici fnac ou bien en me passant commande !


Avr
29

The train to nowhere

  • Posted By : vr19696-ovh/
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Avr
28

The western village

  • Posted By : vr19696-ovh/
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